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obscur_echangeTitre : Le goût du vin et de ses lèvres
Auteur : Cube Gélatineux (Participant 28)
Pour : Ristul (Participant 6)
Fandom : Neuf Princes d'Ambre
Persos/Couple : Mandor/Fiona
Rating : R
Disclaimer : Tout ceci appartient à Roger Zelazny plus qu'à moi, quand même.
Prompt : Mandor/ qui tu veux 8D !: Ca peut être Fiona bien sûr, l'OTP des fourbes, ou si tu recherches le slash, quelque chose avec Merlin ou Jurt, les deux jeunes chiens fous de la famille Sawall. Avec l'élégance toute chaosienne.
Elle portait une robe faussement simple, mais dont la coupe impeccable mettait subtilement en valeur la finesse de sa taille et la rondeur parfaite de ses seins ; une ceinture d'émeraude ceignait ses hanches, des bracelets d'argent soulignaient la délicatesse de ses poignets délicats. Elle était petite, faussement fragile ; les épaules nues, menues, la gorge pâle et parfaitement sculptée.
Elle était superbe.
Il avait cuisiné pour elle, bien sûr. C'était le moins qu'il puisse faire pour une princesse de son statut. Ils avaient choisi une Ombre confortable, un restaurant d'ombres et de cristaux où l'obscurité faisait mieux ressortir la délicatesse ouvragée des dentelles des nappes ou des reliefs des couverts ; le feu des cheminées jouait à rivaliser d'intensité avec les boucles rousses qui s'attardaient paresseusement sur les courbes souples de ses épaules – et perdait.
Elle avait choisi le vin. Quelque chose de trompeusement sucré, teinté d'une acidité qui s'attardait sur la langue avant de s'évanouir d'un coup aux gorgées suivantes. Ce n'aurait pas été son choix, mais il l'avait complimentée malgré tout – évidemment. Elle avait souri, l'ébauche d'un coup de pinceau sur le tableau vif de son visage. Un avertissement ? L'amertume d'une séduction.
Peu probable, quand lui comme elle savaient pertinemment les règles du jeu auquel ils jouaient. Un vieux classique, l'effleurement accidentel de leurs doigts quand il remplissait son verre, les jeux de leurs regards tantôt liés et tantôt détournés. Elle le guettait de sous ses cils pâles, souriante, et il se pliait – courtoisement docile – à ses jeux. Ses mots dansaient entre piques et compliments déguisés, une rébellion contre la douceur de ses lèvres courbes –
- J'ai trop l'habitude de la méchanceté pour pouvoir n'être que douce, rit-elle.
Mais il n'avait pas besoin de douceur, n'aurait pas voulu que douceur. Elle était petite, mince, délicate, et elle portait en elle tout le vice et la violence d'Ambre. Elle lui mordit les lèvres lorsque leurs sourires se joignirent, et ses oncles courts, rose comme nacre, se crispèrent sur ses épaules. Il la souleva sans effort. Elle rit, se cambra contre lui.
Le restaurant était devenu chambre, les teintures richement ornementées de serpents et de licornes étrangement entremêlée. Elle l'attira vers le lit autant qu'il l'y porta, ses mains curieuses caressant ses cheveux, sa nuque, ses joues, descendant de sa gorge à son col comme s'il avait été un artefact nouveau à mémoriser.
Il érigea des cheminées dans les murs juste pour voir l'orangé des flammes teinter sa peau d'éclats nouveaux, et il sut à la courbe de ses lèvres pâles qu'elle connaissait parfaitement ses raisons.
Sa robe ne s'ôtait pas facilement, bien sûr. Elle n'était pas le type de femme à accepter d'être si facilement obtenue. Elle rit sous ses efforts, ses mains à elle s'affairant sur les boutons de sa chemise. Il lui saisit chaque poignet pour en embrasser l'intérieur ; elle l'observa de ses yeux de chat, la pupille s'en dilatant lorsqu'il suçota la peau fine et blanche sous ses lèvres.
Elle se voulait patiente ; elle se voulait l'objet amusé, admiré de son désir. Mais elle avait la sauvagerie de sa lignée, cet instinct conquérant qui s'alliait si bien au vice de ses iris verdoyants, et elle ne pouvait rester inactive si longtemps. Elle se pencha en avant, exposant l'ombre qui dessinait, dans son décolleté, la rondeur de ses seins, et l'embrassa à nouveau, plus profondément. Il se plia à son désir, laissa leurs langues s'effleurer, leurs haleines se mêler ; le goût du vin, acide, à nouveau, et la douceur de ses lèvres ; la courbe ferme de ses hanches sous ses paumes comme elle se pressait contre lui, passait ses mains à elle sous la soie de ses chemises.
- Vous êtes magnifique, murmura-t-il avec une admiration sincère.
- Je sais, rit-elle – et l'entendre un peu essoufflée était une victoire suffisante pour le moment.
Il aimait le vert de sa robe, mais il préférait la pâleur de sa peau blanche. Elle le laissa, dans sa mansuétude, mordiller sa gorge, caresser ses cuisses fermes, embrasser la roseur de ses seins et suivre de la langue la courbe de son ventre ; les jambes de l'Ambrienne s'enroulèrent autours de ses épaules, ses mains se crispèrent dans ses cheveux.
Il savait reconnaître la concession qu'elle lui accordait ; le privilège de la toucher, de la faire en premier soupirer son désir. C'était un prix précieux, presque inespéré, les halètements légers qu'elle lui concéda lorsque ses doigts effleurèrent la chair sensible entre ses jambes ; lorsqu'il quêta, de la main comme de la langue, qu'elle s'ouvre pour lui. Elle lui accorda chaque gémissement comme une obole, frémissant à chaque contact, honnête dans un plaisir que le liquide suave qui couvrit bientôt les doigts du Chaosien rendait inutile de nier ; sa peau était chaude, ses muscles tendus sous la main qu'il avait laissée explorer le reste de son corps, ses hanches ondulant au rythme qu'il lui avait choisi – lent, mesuré, la cadence de la danse qu'il lui aurait proposée se fussent-ils rencontrés dans une occasion formelle – et il ne fut pas surpris de la main exigeante qui lui caressa la joue, attirant son attention.
- Je préfère jouer à deux, prétexta-t-elle d'une voix faussement calme.
Ses joues étaient empourprées, son regard vert luisant de fièvre, et il dévora son sourire mensonger à même ses lèvres. Elle le mordit en retour, juste assez pour frôler la douleur, mais la façon dont son corps mince et brûlant se pressait contre le sien était un accord suffisant pour qu'il lui écarte les cuisses.
Elle lui mordit plus âprement l'épaule lorsqu'il la pénétra doucement, lentement, savourant le moment. Il sourit et lui embrassa chastement l'épaule, lui laissant le temps de s'habituer à la sensation avant de poursuivre – un réflexe courtois dont elle n'avait que faire, son admirable Ambrienne, trop féroce et passionnée pour tolérer d'être ménagée. Elle l'attira davantage en elle d'une torsion des jambes qu'elle avait nouées autours de ses reins, les mains crispées sur ses épaules – l'étreinte d'une princesse, exigeante et impérieuse... Il embrassa le creux ô combien délicat de sa gorge, le coin de sa bouche pour une fois nue de sourire ; joua, de la langue, avec l'un des anneaux dorés qui ornaient ses lobes d'oreilles. Elle répondit à chaque geste, chaque caresse, ses mains fines papillonnant contre sa nuque, dans ses cheveux, contre ses joues, ses lèvres entrouverte. Il mordilla le bout de ses doigts, les suçotant doucement, et le corps de l'Ambrienne se crispa autours de lui en réponse.
Elle était splendide. Sa peau brûlait contre celle du Chaosien, l'odeur de son parfum – floral, piquant, tout elle en une fragrance – lui emplissait l'esprit, et le goût de sa bouche contre la sienne... La douceur de sa peau, la morsure de ses ongles ou de ses dents, la caresse des soupirs et des cris qu'elle lui accordait, princière – la danse de leurs deux corps, leurs mains entrelacées, séparées, les mouvements de leurs hanches, le plaisir qui dissipait la cohérence de ses pensées – le feu des yeux de Fiona, bien plus intense et vicieux que celui de ses boucles rousses... Ouverte pour lui, par lui, piégée sous le poids de son corps, ses muscles internes crispés et détendus aux rythmes de ses mouvements, mais ni passive ni soumise – jamais, pas une Ambrienne, pas sa princesse, pas elle. Elle fut la première à parvenir au plaisir, le frémissement violent qui crispa son corps, le rythme soudain désharmonieux de ses hanches suffisant mieux que la plus experte des caresses à l'entraîner avec elle.
Il se laissa tomber à ses côtés et elle lui embrassa paresseusement le creux de la gorge, se lovant contre lui avec l'assurance d'un chat satisfait.
- Et bien, j'imagine que les talents des Chaosiens ne sont pas insatisfaisants, murmura-t-elle avec un petit rire.
- Mais je ne peux que m'incliner devant la supériorité Ambrienne, lui sourit-il.
Ses yeux verts se piquèrent d'intérêt :
- Oh, déjà résigné à une défaite ? Est-ce bien excitant ?
Il ne pris pas la peine de lui répondre en mots ; sa main glissait déjà sur la douceur de son ventre, sur ses cuisses semées d'humidité. Elle lâcha un bruit agréablement surpris et se cambra contre lui, ses mains habiles partant lui rendre la pareille.
Il avait à faire bientôt, sans doute ; Dara à rejoindre, Merlin à convaincre, d'honorés pairs avec qui comploter.
Mais l'entretien des bonnes relations avec Ambre était, après tout, un travail aussi essentiel qu'intriguer au Chaos.
Fin
Auteur : Cube Gélatineux (Participant 28)
Pour : Ristul (Participant 6)
Fandom : Neuf Princes d'Ambre
Persos/Couple : Mandor/Fiona
Rating : R
Disclaimer : Tout ceci appartient à Roger Zelazny plus qu'à moi, quand même.
Prompt : Mandor/ qui tu veux 8D !: Ca peut être Fiona bien sûr, l'OTP des fourbes, ou si tu recherches le slash, quelque chose avec Merlin ou Jurt, les deux jeunes chiens fous de la famille Sawall. Avec l'élégance toute chaosienne.
Elle portait une robe faussement simple, mais dont la coupe impeccable mettait subtilement en valeur la finesse de sa taille et la rondeur parfaite de ses seins ; une ceinture d'émeraude ceignait ses hanches, des bracelets d'argent soulignaient la délicatesse de ses poignets délicats. Elle était petite, faussement fragile ; les épaules nues, menues, la gorge pâle et parfaitement sculptée.
Elle était superbe.
Il avait cuisiné pour elle, bien sûr. C'était le moins qu'il puisse faire pour une princesse de son statut. Ils avaient choisi une Ombre confortable, un restaurant d'ombres et de cristaux où l'obscurité faisait mieux ressortir la délicatesse ouvragée des dentelles des nappes ou des reliefs des couverts ; le feu des cheminées jouait à rivaliser d'intensité avec les boucles rousses qui s'attardaient paresseusement sur les courbes souples de ses épaules – et perdait.
Elle avait choisi le vin. Quelque chose de trompeusement sucré, teinté d'une acidité qui s'attardait sur la langue avant de s'évanouir d'un coup aux gorgées suivantes. Ce n'aurait pas été son choix, mais il l'avait complimentée malgré tout – évidemment. Elle avait souri, l'ébauche d'un coup de pinceau sur le tableau vif de son visage. Un avertissement ? L'amertume d'une séduction.
Peu probable, quand lui comme elle savaient pertinemment les règles du jeu auquel ils jouaient. Un vieux classique, l'effleurement accidentel de leurs doigts quand il remplissait son verre, les jeux de leurs regards tantôt liés et tantôt détournés. Elle le guettait de sous ses cils pâles, souriante, et il se pliait – courtoisement docile – à ses jeux. Ses mots dansaient entre piques et compliments déguisés, une rébellion contre la douceur de ses lèvres courbes –
- J'ai trop l'habitude de la méchanceté pour pouvoir n'être que douce, rit-elle.
Mais il n'avait pas besoin de douceur, n'aurait pas voulu que douceur. Elle était petite, mince, délicate, et elle portait en elle tout le vice et la violence d'Ambre. Elle lui mordit les lèvres lorsque leurs sourires se joignirent, et ses oncles courts, rose comme nacre, se crispèrent sur ses épaules. Il la souleva sans effort. Elle rit, se cambra contre lui.
Le restaurant était devenu chambre, les teintures richement ornementées de serpents et de licornes étrangement entremêlée. Elle l'attira vers le lit autant qu'il l'y porta, ses mains curieuses caressant ses cheveux, sa nuque, ses joues, descendant de sa gorge à son col comme s'il avait été un artefact nouveau à mémoriser.
Il érigea des cheminées dans les murs juste pour voir l'orangé des flammes teinter sa peau d'éclats nouveaux, et il sut à la courbe de ses lèvres pâles qu'elle connaissait parfaitement ses raisons.
Sa robe ne s'ôtait pas facilement, bien sûr. Elle n'était pas le type de femme à accepter d'être si facilement obtenue. Elle rit sous ses efforts, ses mains à elle s'affairant sur les boutons de sa chemise. Il lui saisit chaque poignet pour en embrasser l'intérieur ; elle l'observa de ses yeux de chat, la pupille s'en dilatant lorsqu'il suçota la peau fine et blanche sous ses lèvres.
Elle se voulait patiente ; elle se voulait l'objet amusé, admiré de son désir. Mais elle avait la sauvagerie de sa lignée, cet instinct conquérant qui s'alliait si bien au vice de ses iris verdoyants, et elle ne pouvait rester inactive si longtemps. Elle se pencha en avant, exposant l'ombre qui dessinait, dans son décolleté, la rondeur de ses seins, et l'embrassa à nouveau, plus profondément. Il se plia à son désir, laissa leurs langues s'effleurer, leurs haleines se mêler ; le goût du vin, acide, à nouveau, et la douceur de ses lèvres ; la courbe ferme de ses hanches sous ses paumes comme elle se pressait contre lui, passait ses mains à elle sous la soie de ses chemises.
- Vous êtes magnifique, murmura-t-il avec une admiration sincère.
- Je sais, rit-elle – et l'entendre un peu essoufflée était une victoire suffisante pour le moment.
Il aimait le vert de sa robe, mais il préférait la pâleur de sa peau blanche. Elle le laissa, dans sa mansuétude, mordiller sa gorge, caresser ses cuisses fermes, embrasser la roseur de ses seins et suivre de la langue la courbe de son ventre ; les jambes de l'Ambrienne s'enroulèrent autours de ses épaules, ses mains se crispèrent dans ses cheveux.
Il savait reconnaître la concession qu'elle lui accordait ; le privilège de la toucher, de la faire en premier soupirer son désir. C'était un prix précieux, presque inespéré, les halètements légers qu'elle lui concéda lorsque ses doigts effleurèrent la chair sensible entre ses jambes ; lorsqu'il quêta, de la main comme de la langue, qu'elle s'ouvre pour lui. Elle lui accorda chaque gémissement comme une obole, frémissant à chaque contact, honnête dans un plaisir que le liquide suave qui couvrit bientôt les doigts du Chaosien rendait inutile de nier ; sa peau était chaude, ses muscles tendus sous la main qu'il avait laissée explorer le reste de son corps, ses hanches ondulant au rythme qu'il lui avait choisi – lent, mesuré, la cadence de la danse qu'il lui aurait proposée se fussent-ils rencontrés dans une occasion formelle – et il ne fut pas surpris de la main exigeante qui lui caressa la joue, attirant son attention.
- Je préfère jouer à deux, prétexta-t-elle d'une voix faussement calme.
Ses joues étaient empourprées, son regard vert luisant de fièvre, et il dévora son sourire mensonger à même ses lèvres. Elle le mordit en retour, juste assez pour frôler la douleur, mais la façon dont son corps mince et brûlant se pressait contre le sien était un accord suffisant pour qu'il lui écarte les cuisses.
Elle lui mordit plus âprement l'épaule lorsqu'il la pénétra doucement, lentement, savourant le moment. Il sourit et lui embrassa chastement l'épaule, lui laissant le temps de s'habituer à la sensation avant de poursuivre – un réflexe courtois dont elle n'avait que faire, son admirable Ambrienne, trop féroce et passionnée pour tolérer d'être ménagée. Elle l'attira davantage en elle d'une torsion des jambes qu'elle avait nouées autours de ses reins, les mains crispées sur ses épaules – l'étreinte d'une princesse, exigeante et impérieuse... Il embrassa le creux ô combien délicat de sa gorge, le coin de sa bouche pour une fois nue de sourire ; joua, de la langue, avec l'un des anneaux dorés qui ornaient ses lobes d'oreilles. Elle répondit à chaque geste, chaque caresse, ses mains fines papillonnant contre sa nuque, dans ses cheveux, contre ses joues, ses lèvres entrouverte. Il mordilla le bout de ses doigts, les suçotant doucement, et le corps de l'Ambrienne se crispa autours de lui en réponse.
Elle était splendide. Sa peau brûlait contre celle du Chaosien, l'odeur de son parfum – floral, piquant, tout elle en une fragrance – lui emplissait l'esprit, et le goût de sa bouche contre la sienne... La douceur de sa peau, la morsure de ses ongles ou de ses dents, la caresse des soupirs et des cris qu'elle lui accordait, princière – la danse de leurs deux corps, leurs mains entrelacées, séparées, les mouvements de leurs hanches, le plaisir qui dissipait la cohérence de ses pensées – le feu des yeux de Fiona, bien plus intense et vicieux que celui de ses boucles rousses... Ouverte pour lui, par lui, piégée sous le poids de son corps, ses muscles internes crispés et détendus aux rythmes de ses mouvements, mais ni passive ni soumise – jamais, pas une Ambrienne, pas sa princesse, pas elle. Elle fut la première à parvenir au plaisir, le frémissement violent qui crispa son corps, le rythme soudain désharmonieux de ses hanches suffisant mieux que la plus experte des caresses à l'entraîner avec elle.
Il se laissa tomber à ses côtés et elle lui embrassa paresseusement le creux de la gorge, se lovant contre lui avec l'assurance d'un chat satisfait.
- Et bien, j'imagine que les talents des Chaosiens ne sont pas insatisfaisants, murmura-t-elle avec un petit rire.
- Mais je ne peux que m'incliner devant la supériorité Ambrienne, lui sourit-il.
Ses yeux verts se piquèrent d'intérêt :
- Oh, déjà résigné à une défaite ? Est-ce bien excitant ?
Il ne pris pas la peine de lui répondre en mots ; sa main glissait déjà sur la douceur de son ventre, sur ses cuisses semées d'humidité. Elle lâcha un bruit agréablement surpris et se cambra contre lui, ses mains habiles partant lui rendre la pareille.
Il avait à faire bientôt, sans doute ; Dara à rejoindre, Merlin à convaincre, d'honorés pairs avec qui comploter.
Mais l'entretien des bonnes relations avec Ambre était, après tout, un travail aussi essentiel qu'intriguer au Chaos.
Fin
![[personal profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/user.png){kind=small}
no subject
Date: 2013-07-08 08:43 pm (UTC)no subject
Date: 2013-07-10 11:39 am (UTC)<3
Date: 2013-08-17 02:24 pm (UTC)Ristul ~
no subject
Date: 2013-09-03 12:32 pm (UTC)(Et même si je shippe Julian/Fiona, ou Bleys/Fiona, un peu de Mandor/Fiona c'est toujours bien ^^)