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Titre : Les promesses qui naissent dans le sang de la guerre
Auteur : Akemi Tan (Participant.e 4)
Pour : Festimouche (Participant.e 8)
Fandom : Amnesia The Bunker
Persos/Couple : Augustin & Henri, léger Augustin/Henri
Rating : T+
Disclaimer : Frictional Games
Prompt : Avant les événements du jeu, comment Augustin et Henri se sont liés d’amitié ?
Notes : Ami.e Inconnu.e j'espère que cette histoire vous plaira ! L'histoire avait commencé de manière platonique mais la relation est assez ambigu, j'espère que cela vous plaira et vous pouvez choisir d'y voir quelque chose de romantique ou platinique. Ce fut un grand plaisir d'écrire sur eux et je vous remercie de m'avoir envoyé ce prompt!
La guerre n'était pas un endroit sain. On y était appelé sans avoir la promesse de revenir un jour. Dès que le premier obus tomber et qu'on glissait dans la boue, on savait qu'elle allait être longue et que les adieux offerts avant de partir sur le front devenait un testament autant qu'un espoir de pouvoir serrer sa famille de nouveau dans ses bras.
Cette guerre semblait pire que toutes les autres. Cela faisait presque deux ans et cela ne semblait ne pas vouloir s'arrêter. Les bunkers avaient fleuri dans les trancher, les trancher qu'aucun vétéran ne connaissait et qui étaient des sillons de terres, de boues et de cadavre. On avait l'impression d'être loin de toute civilisation. Loin de la France et de l’Allemagne.
Henri était fatigué de ça et voulait rentrer dans sa Normandie natale. Si possible entier alors que les obus pleuvaient et que les rares chanceux qui quitter les lignes de guerres n'était que rarement entier. Encore plus rarement vivant. Aucun soldat ne voulait pensaient à ça. Que face aux obus et aux tires ennemis, tout le monde était égal devant la mort.
Pour le meilleur et pour le pire, on s'y habituait. La peur ne quittait pas les soldats, mais face à l'horreur les hommes avaient toujours à trouver un moyen de rendre leur quotidien moins pénible. Henri avait fini par plaisanter des sorties comme tous les autres. La première année était difficile, surtout les fêtes loin de toute famille et loin de leur maison. La guerre n'était pas non plus silencieuse. Les bruits des obus et des tires trouvaient leur place sous leur peau, on s'habituait à voir la lumière bougeait quand le bunker tremblait, on s'habituait au repas au mieux terreux et parfois absent. On s'habituait voir des soldats ne jamais revenir.
La mort laissait dans les pires moments les dortoirs se vider et se remplir dans un va et vient d'ancien camarade avec qui on avait parlé et cohabité ensemble, et de nouveaux visage qu'il fallait apprendre à connaître pour les voir partir si on ne partait pas avant eux. C'est ainsi qu'il avait rencontré Augustin. C'était Lambert à leur première rencontre, et l'homme arrivant pour remplir la place de libre au-dessus de sa couchette. Henri ne savait plus qu'elle avait été ses premières impressions, mais malgré ses lunettes et une présentation timide, Lambert était un fils aussi surnoit qu'Henri. Le sergent Joubert avait presque regretté dès la première semaine de lui avoir donné comme compagnon de couchette Augustin.
Le courant était bien placer. Même si Henri ne savait pas quand ils étaient devenus amis, inséparable dans cette guerre. Toujours fourré ensemble au point qu'Henri savait qu'il n'allait pas mourir seul si Augustin était avec lui sur le champ de bataille. Henri lui devait bien ça. Leur amitié avait peut-être commencé car Henri lui était redevable.
C'était arriver peu après la venue d'Augustin dans le bunker. C'était une sortie dans le no-man's land comme une autre. Le commandant Fournier, se lâche, n'était pas là depuis le début de la percer. Les soldats courraient, essayant d'esquiver le barbelé et les tires ennemis quand les premiers obus étaient tombés. C'était le moment redouté par tout soldat dehors.
La terre tremblait sous l'attaque. Les soldats français criaient mais continuer de courir. La première explosion était assez pour perdre l'équilibre. Le second obus laissait le hurlement de la terre et des soldats résonnait bien trop proche de leur groupe.
Henri manquait de tomber alors que leur trancher s'écroulait sous la force d'un troisième obus. La terre glissait avec lui, sa jambe se retrouvant piéger dans l'un des anciens trous d'obus. Les autres continuaient de courir pour éviter les balles, Henri ne leur en voulait pas et tentait de se dégager en vain avant qu'un autre obus ne tombe sur lui, quand il avait senti une main l'attrapé et le tiré. Avec leur deux forces Henri était sauvé, pouvant continuer de courir avec Augustin se refugier dans un abri avec le reste de leur unité. Sans l'autre homme, il ne serait peut-être pas sortie à temps du piège de boue qui le tenait dans un ancien trou d'obus. Henri lui devait beaucoup. Chaque instant hors du bunker pouvait leur coûter leur vie et Augustin l'avait sans doute sauvé.
Leur lien déjà fort s'était consolidé en une promesse sans mot.
Encouragé et nourris alors que les deux hommes partageaient leur soirée et nuit. Et une partie de leur journée. C'était certainement quelque chose qu'Henri aimer et qui avait fait que le soldat Lambert était devenu Augustin. Les mois passaient et quand les deux hommes ne se cherchaient pas ou provoquer, Henri promettait de se venger d'Augustin pour avoir rempli sa gourde de pisse, le soir était le moment préféré de l'homme.
C'était quelque chose de doux, de domestique et normale alors qu'ils rentraient avec des uniformes tacher de sang et de boue. On pouvait ignorer le bruit des obus ou la pierre étouffante du bunker.
Augustin lui parlait de sa femme et leur enfant, de comment était sa région et la vie là-bas. De souvenir dérisoire quand on avait la chance de vivre dans un pays en paix, ce qu'il ferait en partant du front, de ce qu'il aimait en demandant à Henri de faire de même, chacun des deux hommes dans leur couchette avec leur journal ou une gourde d'alcool volé ou trouvé lors d'attaque contre les allemands. Henri souriait et noté dans son journal en écoutant Augustin parler. Dans l'horreur de la guerre, voir les yeux de l'autre homme brillait derrière ses lunettes était l'une des rares chose qui laisser espérait à Henri de sentir de cet enfer indemne.
Même si aucun des deux ne l'avait dit à haute voix, ils se promettaient de se revoir même en quittant le bunker. D'envoyer des lettres ou de réussi à ne pas tomber dans l'oublie. Henri se promettait de tout faire pour qu'Augustin rentre chez lui, se doutant que l'autre homme avec les mêmes attentions à son encontre.
Pour continuer de parler le soir dans la tombe de béton qui les protéger des obus, pour qu'Augustin puisse offrir à son fils la peluche qu'il avait achetée lors d'une de leur rare permission, pour qu'Henri puisse revoir la manche et la mer de nouveau. A défaut de pouvoir avoir du vin ou un vrai repas, c'était ce qui les faisait tenir. De savoir qu'ils pouvaient rentrer dans leur chambre et parler, réfléchir à leur vie et à tout ce qui les attendait après les tranchés et le bunker.
Henri chérissait chaque instant. Attendait de pouvoir passer du temps avec son ami malgré les poux glissaient dans son lit, et la vengeance qu'il avait effectuée sur Augustin en représailles. Même si cela n'allait pas durer.
Les promesses faites durant la guerre était difficilement tenu, mais pour le moment ils s'en sortaient. Jusqu’à se maudit pari truquée. Henri ne se souvenait de rien d'autre que de l'explosion alors qu'il tentait de ramener Augustin au bunker. Le choc qui parcourait tout son corps alors qu'il était projeté sur le sol. Le bruit de leur deux corps tombant raisonné dans sa tête avec celui des obus. La mort arrivait. Henri n'avait plus la force de continuer et de se relever. Sa tête lui faisait tellement mal. Il ne devrait pas être surpris. Cela faisait déjà deux ans qu'ils avaient esquivé les allemands. Beaucoup n'avaient pas duré aussi longtemps.
Chaque soldat savait que beaucoup ne rentreraient pas chez eux. C'était difficile de se dire que c'était nous, que cela serait nous le corps dans le cercueil. Henri n'était pas prêt à mourir, personne n'était prêt à mourir. Il n'était pas prêt non plus à ouvrir les yeux à l'infirmerie, dans le charnier qu'était devenu le bunker après des jours de comas.
Ses premières inquiétudes avaient été de retrouver Augustin. Était-il vivant ? Était-il mort lors de l'attaque.
S'il était rentré avec lui, il ne pouvait pas mourir maintenant. La sortie et la présence de survivant était devenu les priorités de l'homme. Ses plaques d'identités, ses lunettes, Henri avait ramassé chaque relique de son ami jusqu'à retrouver la peluche de lapin, boueuse et sale mais intacte. Henri avait retrouvé espoir de sortir et de retrouver l'autre homme. Certains avaient survécu à la bête et courrait encore dans les ruines ou le dédale qu'était le bunker quand Henri s'était réveillé. Augustin aller rentrer à la maison avec lui.
Puis Henri avait lu le journal de son ami, et voyait la bête qui l'avait poursuivi serrer la peluche contre lui.
Auteur : Akemi Tan (Participant.e 4)
Pour : Festimouche (Participant.e 8)
Fandom : Amnesia The Bunker
Persos/Couple : Augustin & Henri, léger Augustin/Henri
Rating : T+
Disclaimer : Frictional Games
Prompt : Avant les événements du jeu, comment Augustin et Henri se sont liés d’amitié ?
Notes : Ami.e Inconnu.e j'espère que cette histoire vous plaira ! L'histoire avait commencé de manière platonique mais la relation est assez ambigu, j'espère que cela vous plaira et vous pouvez choisir d'y voir quelque chose de romantique ou platinique. Ce fut un grand plaisir d'écrire sur eux et je vous remercie de m'avoir envoyé ce prompt!
La guerre n'était pas un endroit sain. On y était appelé sans avoir la promesse de revenir un jour. Dès que le premier obus tomber et qu'on glissait dans la boue, on savait qu'elle allait être longue et que les adieux offerts avant de partir sur le front devenait un testament autant qu'un espoir de pouvoir serrer sa famille de nouveau dans ses bras.
Cette guerre semblait pire que toutes les autres. Cela faisait presque deux ans et cela ne semblait ne pas vouloir s'arrêter. Les bunkers avaient fleuri dans les trancher, les trancher qu'aucun vétéran ne connaissait et qui étaient des sillons de terres, de boues et de cadavre. On avait l'impression d'être loin de toute civilisation. Loin de la France et de l’Allemagne.
Henri était fatigué de ça et voulait rentrer dans sa Normandie natale. Si possible entier alors que les obus pleuvaient et que les rares chanceux qui quitter les lignes de guerres n'était que rarement entier. Encore plus rarement vivant. Aucun soldat ne voulait pensaient à ça. Que face aux obus et aux tires ennemis, tout le monde était égal devant la mort.
Pour le meilleur et pour le pire, on s'y habituait. La peur ne quittait pas les soldats, mais face à l'horreur les hommes avaient toujours à trouver un moyen de rendre leur quotidien moins pénible. Henri avait fini par plaisanter des sorties comme tous les autres. La première année était difficile, surtout les fêtes loin de toute famille et loin de leur maison. La guerre n'était pas non plus silencieuse. Les bruits des obus et des tires trouvaient leur place sous leur peau, on s'habituait à voir la lumière bougeait quand le bunker tremblait, on s'habituait au repas au mieux terreux et parfois absent. On s'habituait voir des soldats ne jamais revenir.
La mort laissait dans les pires moments les dortoirs se vider et se remplir dans un va et vient d'ancien camarade avec qui on avait parlé et cohabité ensemble, et de nouveaux visage qu'il fallait apprendre à connaître pour les voir partir si on ne partait pas avant eux. C'est ainsi qu'il avait rencontré Augustin. C'était Lambert à leur première rencontre, et l'homme arrivant pour remplir la place de libre au-dessus de sa couchette. Henri ne savait plus qu'elle avait été ses premières impressions, mais malgré ses lunettes et une présentation timide, Lambert était un fils aussi surnoit qu'Henri. Le sergent Joubert avait presque regretté dès la première semaine de lui avoir donné comme compagnon de couchette Augustin.
Le courant était bien placer. Même si Henri ne savait pas quand ils étaient devenus amis, inséparable dans cette guerre. Toujours fourré ensemble au point qu'Henri savait qu'il n'allait pas mourir seul si Augustin était avec lui sur le champ de bataille. Henri lui devait bien ça. Leur amitié avait peut-être commencé car Henri lui était redevable.
C'était arriver peu après la venue d'Augustin dans le bunker. C'était une sortie dans le no-man's land comme une autre. Le commandant Fournier, se lâche, n'était pas là depuis le début de la percer. Les soldats courraient, essayant d'esquiver le barbelé et les tires ennemis quand les premiers obus étaient tombés. C'était le moment redouté par tout soldat dehors.
La terre tremblait sous l'attaque. Les soldats français criaient mais continuer de courir. La première explosion était assez pour perdre l'équilibre. Le second obus laissait le hurlement de la terre et des soldats résonnait bien trop proche de leur groupe.
Henri manquait de tomber alors que leur trancher s'écroulait sous la force d'un troisième obus. La terre glissait avec lui, sa jambe se retrouvant piéger dans l'un des anciens trous d'obus. Les autres continuaient de courir pour éviter les balles, Henri ne leur en voulait pas et tentait de se dégager en vain avant qu'un autre obus ne tombe sur lui, quand il avait senti une main l'attrapé et le tiré. Avec leur deux forces Henri était sauvé, pouvant continuer de courir avec Augustin se refugier dans un abri avec le reste de leur unité. Sans l'autre homme, il ne serait peut-être pas sortie à temps du piège de boue qui le tenait dans un ancien trou d'obus. Henri lui devait beaucoup. Chaque instant hors du bunker pouvait leur coûter leur vie et Augustin l'avait sans doute sauvé.
Leur lien déjà fort s'était consolidé en une promesse sans mot.
Encouragé et nourris alors que les deux hommes partageaient leur soirée et nuit. Et une partie de leur journée. C'était certainement quelque chose qu'Henri aimer et qui avait fait que le soldat Lambert était devenu Augustin. Les mois passaient et quand les deux hommes ne se cherchaient pas ou provoquer, Henri promettait de se venger d'Augustin pour avoir rempli sa gourde de pisse, le soir était le moment préféré de l'homme.
C'était quelque chose de doux, de domestique et normale alors qu'ils rentraient avec des uniformes tacher de sang et de boue. On pouvait ignorer le bruit des obus ou la pierre étouffante du bunker.
Augustin lui parlait de sa femme et leur enfant, de comment était sa région et la vie là-bas. De souvenir dérisoire quand on avait la chance de vivre dans un pays en paix, ce qu'il ferait en partant du front, de ce qu'il aimait en demandant à Henri de faire de même, chacun des deux hommes dans leur couchette avec leur journal ou une gourde d'alcool volé ou trouvé lors d'attaque contre les allemands. Henri souriait et noté dans son journal en écoutant Augustin parler. Dans l'horreur de la guerre, voir les yeux de l'autre homme brillait derrière ses lunettes était l'une des rares chose qui laisser espérait à Henri de sentir de cet enfer indemne.
Même si aucun des deux ne l'avait dit à haute voix, ils se promettaient de se revoir même en quittant le bunker. D'envoyer des lettres ou de réussi à ne pas tomber dans l'oublie. Henri se promettait de tout faire pour qu'Augustin rentre chez lui, se doutant que l'autre homme avec les mêmes attentions à son encontre.
Pour continuer de parler le soir dans la tombe de béton qui les protéger des obus, pour qu'Augustin puisse offrir à son fils la peluche qu'il avait achetée lors d'une de leur rare permission, pour qu'Henri puisse revoir la manche et la mer de nouveau. A défaut de pouvoir avoir du vin ou un vrai repas, c'était ce qui les faisait tenir. De savoir qu'ils pouvaient rentrer dans leur chambre et parler, réfléchir à leur vie et à tout ce qui les attendait après les tranchés et le bunker.
Henri chérissait chaque instant. Attendait de pouvoir passer du temps avec son ami malgré les poux glissaient dans son lit, et la vengeance qu'il avait effectuée sur Augustin en représailles. Même si cela n'allait pas durer.
Les promesses faites durant la guerre était difficilement tenu, mais pour le moment ils s'en sortaient. Jusqu’à se maudit pari truquée. Henri ne se souvenait de rien d'autre que de l'explosion alors qu'il tentait de ramener Augustin au bunker. Le choc qui parcourait tout son corps alors qu'il était projeté sur le sol. Le bruit de leur deux corps tombant raisonné dans sa tête avec celui des obus. La mort arrivait. Henri n'avait plus la force de continuer et de se relever. Sa tête lui faisait tellement mal. Il ne devrait pas être surpris. Cela faisait déjà deux ans qu'ils avaient esquivé les allemands. Beaucoup n'avaient pas duré aussi longtemps.
Chaque soldat savait que beaucoup ne rentreraient pas chez eux. C'était difficile de se dire que c'était nous, que cela serait nous le corps dans le cercueil. Henri n'était pas prêt à mourir, personne n'était prêt à mourir. Il n'était pas prêt non plus à ouvrir les yeux à l'infirmerie, dans le charnier qu'était devenu le bunker après des jours de comas.
Ses premières inquiétudes avaient été de retrouver Augustin. Était-il vivant ? Était-il mort lors de l'attaque.
S'il était rentré avec lui, il ne pouvait pas mourir maintenant. La sortie et la présence de survivant était devenu les priorités de l'homme. Ses plaques d'identités, ses lunettes, Henri avait ramassé chaque relique de son ami jusqu'à retrouver la peluche de lapin, boueuse et sale mais intacte. Henri avait retrouvé espoir de sortir et de retrouver l'autre homme. Certains avaient survécu à la bête et courrait encore dans les ruines ou le dédale qu'était le bunker quand Henri s'était réveillé. Augustin aller rentrer à la maison avec lui.
Puis Henri avait lu le journal de son ami, et voyait la bête qui l'avait poursuivi serrer la peluche contre lui.
no subject
Date: 2024-09-09 07:02 am (UTC)Merci pour ce petit moment hyper fraternel. On retrouve vraiment la dynamique de deux frères, à la fois proches et qui se font des tours pendables.
Festimouche