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Titre : La faiblesse d'un Attachement
Auteur : Blank Dream (Participant.e 11)
Pour : Gangcheol (Participant.e 9)
Fandom : Sonic
Persos/Couple : Stone(/)Robotnik
Rating : T
Disclaimer : Je ne possède pas l’œuvre
Prompt : L'importance que revêt Stone et ses attentions pour Robotnik, à un point que lui-même n'a peut-être pas envie de se l'avouer. Relation possiblement platonique ou liaison. Smut possible.
Notes : Cher.ère inconnu.e j'espère que cette histoire vous plaira. Elle se déroule avant et légèrement après le premier film ᨐ
Robotnik était quelqu'un que beaucoup appelleraient monstre. Il n'avait aucun mal à voir qu'il n'était pas quelqu’un de bon. Robotnik n'avait aucun mal à reconnaître qu'il n'était pas une bonne personne. Il ne perdait pas son temps à se trouver d'excuse. Robotnik n'était pas bon, ne se soucier pas de l'être et ne cherchait pas d'excuse comme certaines grandes figure de l'histoire et encore moins de cause à défendre. Personne n'allait le regarder et se dire qu'il avait raison ou qu'il avait la bonne cause à défendre. C'était une perte de temps et terriblement ennuyeux comme but.
Non, il n'agissait que pour lui, et pour son génie.
Les autres n'avaient qu'à perdre leur temps à le regarder avec crainte, personne ne pouvait nier son génie et pire, ils avaient besoin de lui. Robotnik pouvait être le pire homme au monde, l'armée et tant d'autre avait besoin de lui. Il avait le pouvoir de les détruire comme de les aider. Cela faisait peur. De se sentir si faible et petit face à lui.
C'était l'unique émotion que Robotnik pouvait tolérer quand il était de bonne humeur à son encontre.
Son arme la plus redoutable quand quelqu'un tentait de s'en prendre à lui ou de lui imposer ses choix. Walter l'avait découvert quand Robotnik chassait chacun des agents que l'homme avait tenté de lui donner de force, une faible solution pour le garder sous contrôle et le surveillait.
Robotnik les avait tous chassés sans mal. Jusqu'au dernier des baby-sitter qu'on lui offrait et d'agent double inutile par la peur seul de sa présence et de ses crises de colère. Bon débarras. Il n'avait certainement pas besoin d'un garde du corps ou même d'un faire-valoir. Ses robots étaient là pour ça.
Walter avait poussé Stone sur son chemin comme dernière chance. En observant l'homme Robotnik avait rit, crachant que ce n'était qu'une perte de temps de plus. L'homme ne passerait pas une journée avec lui, et certainement pas plus que quelques heures en sa compagnie quand il saurait où il était et comment d'une simple commande le docteur pouvait le tuer.
Stone, encore juste l'Agent Stone à leur rencontre, avait souri qu'il acceptait le défis. Walter n'avait qu'une envie celle de partir, personne ne pouvait observer Robotnik dans les yeux et encore moins restait plus d'une seconde en sa compagnie si cela n'était pas nécessaire. Mais l'agent souriait comme-ci ce n'était qu'une mission de plus. Robotnik avait détesté de plus avoir ce contrôle, cette aura de peur.
Stone lui avait préparé un café, l'unique raison pour laquelle Robotnik était persuadé d'avoir besoin de lui, et était resté à travailler en silence, souriant à chacun de ses ordres comme-ci le scientifique ne faisait pas peur ou n'était pas complètement fou.
Il semblait même aimer ça. Peu déranger par les insultes et les menaces de mort, souriant et arrivant plus rapidement que Robotnik n'avait le temps de râler pour le servir. Passant ses journées à le complimenter comme-ci Robotnik était idiot et ne savait pas déjà qu'il était intelligent, il en avait terriblement besoin réalisait-il amèrement dans la solitude que lui avait imposée le rongeur bleu.
C'était impossible de dire quand Stone avait gagné le droit d'avoir l'entièreté des codes d’accès de son laboratoire. Quand Robotnik avait construit à l'Agent une montre connectée pour toujours avoir avec lui les coordonnés de l'homme et son état de santé quand le génie ne pouvait pas le garder à côté de lui. Pourquoi Walter devait lui prendre son agent pour une perte de temps qu'étaient des missions gouvernementales.
C'était seulement arriver et le docteur s'en rendait compte qu'une fois que cela était devenu normal. Comme-ci soudainement le génie du mal qu'il était pouvait se soucier de quelqu'u.
Robotnik refusait de se l'avouer. Non, il ne pouvait pas tomber assez bas, assez humain pour ce genre de chose.
Seul sur une planète de champignon, cela n'était pas suffisant pour lui faire avouer que l'unique chose qui le dérangeait avec le manque de son laboratoire était l'absence de Stone. Ce n'était pas grave, il avait trouvé une pierre qui ferait parfaitement le travail. Même si elle ne lui parlait jamais avec les mots qu'il avait besoin d'entendre et que le manque de café se faisait ressentir.
Il allait se débrouiller seul. Il n'avait besoin de personne après tout. La preuve, il était parti seul combattre Sonic. Même si Stone avait voulu venir, et que Robotnik avait refusé dans la crainte de ce qu'il pourrait se passer. C'était trop de risque. Mais Robotnik préférait se dire qu'il n'avait pas besoin d'aide ou de quelqu'un.
Auteur : Blank Dream (Participant.e 11)
Pour : Gangcheol (Participant.e 9)
Fandom : Sonic
Persos/Couple : Stone(/)Robotnik
Rating : T
Disclaimer : Je ne possède pas l’œuvre
Prompt : L'importance que revêt Stone et ses attentions pour Robotnik, à un point que lui-même n'a peut-être pas envie de se l'avouer. Relation possiblement platonique ou liaison. Smut possible.
Notes : Cher.ère inconnu.e j'espère que cette histoire vous plaira. Elle se déroule avant et légèrement après le premier film ᨐ
Robotnik était quelqu'un que beaucoup appelleraient monstre. Il n'avait aucun mal à voir qu'il n'était pas quelqu’un de bon. Robotnik n'avait aucun mal à reconnaître qu'il n'était pas une bonne personne. Il ne perdait pas son temps à se trouver d'excuse. Robotnik n'était pas bon, ne se soucier pas de l'être et ne cherchait pas d'excuse comme certaines grandes figure de l'histoire et encore moins de cause à défendre. Personne n'allait le regarder et se dire qu'il avait raison ou qu'il avait la bonne cause à défendre. C'était une perte de temps et terriblement ennuyeux comme but.
Non, il n'agissait que pour lui, et pour son génie.
Les autres n'avaient qu'à perdre leur temps à le regarder avec crainte, personne ne pouvait nier son génie et pire, ils avaient besoin de lui. Robotnik pouvait être le pire homme au monde, l'armée et tant d'autre avait besoin de lui. Il avait le pouvoir de les détruire comme de les aider. Cela faisait peur. De se sentir si faible et petit face à lui.
C'était l'unique émotion que Robotnik pouvait tolérer quand il était de bonne humeur à son encontre.
Son arme la plus redoutable quand quelqu'un tentait de s'en prendre à lui ou de lui imposer ses choix. Walter l'avait découvert quand Robotnik chassait chacun des agents que l'homme avait tenté de lui donner de force, une faible solution pour le garder sous contrôle et le surveillait.
Robotnik les avait tous chassés sans mal. Jusqu'au dernier des baby-sitter qu'on lui offrait et d'agent double inutile par la peur seul de sa présence et de ses crises de colère. Bon débarras. Il n'avait certainement pas besoin d'un garde du corps ou même d'un faire-valoir. Ses robots étaient là pour ça.
Walter avait poussé Stone sur son chemin comme dernière chance. En observant l'homme Robotnik avait rit, crachant que ce n'était qu'une perte de temps de plus. L'homme ne passerait pas une journée avec lui, et certainement pas plus que quelques heures en sa compagnie quand il saurait où il était et comment d'une simple commande le docteur pouvait le tuer.
Stone, encore juste l'Agent Stone à leur rencontre, avait souri qu'il acceptait le défis. Walter n'avait qu'une envie celle de partir, personne ne pouvait observer Robotnik dans les yeux et encore moins restait plus d'une seconde en sa compagnie si cela n'était pas nécessaire. Mais l'agent souriait comme-ci ce n'était qu'une mission de plus. Robotnik avait détesté de plus avoir ce contrôle, cette aura de peur.
Stone lui avait préparé un café, l'unique raison pour laquelle Robotnik était persuadé d'avoir besoin de lui, et était resté à travailler en silence, souriant à chacun de ses ordres comme-ci le scientifique ne faisait pas peur ou n'était pas complètement fou.
Il semblait même aimer ça. Peu déranger par les insultes et les menaces de mort, souriant et arrivant plus rapidement que Robotnik n'avait le temps de râler pour le servir. Passant ses journées à le complimenter comme-ci Robotnik était idiot et ne savait pas déjà qu'il était intelligent, il en avait terriblement besoin réalisait-il amèrement dans la solitude que lui avait imposée le rongeur bleu.
C'était impossible de dire quand Stone avait gagné le droit d'avoir l'entièreté des codes d’accès de son laboratoire. Quand Robotnik avait construit à l'Agent une montre connectée pour toujours avoir avec lui les coordonnés de l'homme et son état de santé quand le génie ne pouvait pas le garder à côté de lui. Pourquoi Walter devait lui prendre son agent pour une perte de temps qu'étaient des missions gouvernementales.
C'était seulement arriver et le docteur s'en rendait compte qu'une fois que cela était devenu normal. Comme-ci soudainement le génie du mal qu'il était pouvait se soucier de quelqu'u.
Robotnik refusait de se l'avouer. Non, il ne pouvait pas tomber assez bas, assez humain pour ce genre de chose.
Seul sur une planète de champignon, cela n'était pas suffisant pour lui faire avouer que l'unique chose qui le dérangeait avec le manque de son laboratoire était l'absence de Stone. Ce n'était pas grave, il avait trouvé une pierre qui ferait parfaitement le travail. Même si elle ne lui parlait jamais avec les mots qu'il avait besoin d'entendre et que le manque de café se faisait ressentir.
Il allait se débrouiller seul. Il n'avait besoin de personne après tout. La preuve, il était parti seul combattre Sonic. Même si Stone avait voulu venir, et que Robotnik avait refusé dans la crainte de ce qu'il pourrait se passer. C'était trop de risque. Mais Robotnik préférait se dire qu'il n'avait pas besoin d'aide ou de quelqu'un.